21 sept. 2009

Beijing, la ville sans soleil

Dix heures plus tard, atterrissage a Pékin, a coté du nouveau terminal de Norman Foster. Le premier contact est assez austère : ciel de plomb oscillant entre gris et marron foncé, pollution et moiteur. Ce sera le quotidien de ces trois jours passé dans la capitale chinoise.
La première après-midi, complètement décalqués, nous visitons le musée de l'urbanisme. Vraiment impressionnantes toutes ces maquettes...

Pékin, c'est vraiment le merdier. La circulation est impossible, que ce soit dans les nouvelles grandes artères ou bien dans les anciens quartiers, les hutongs. Des vélos de partout, c'est pas une légende.


Le deuxième jour, comme de bon touriste que nous sommes, nous allons voir le nouveau Pékin, c'est à dire le site olympique avec le nid d'oiseau et le cube d'eau ainsi que la CCTV tower, qui de près est assez impressionant mais le serait encore plus sans des palissades de 10 mètres de haut qui entoure encore le chantier.




Mais comment aller à Pékin sans faire un détour par la Grande muraille de Chine... Nous voila donc parti pour vérifier si cette dernière est toujours la et si elle est vraiment impressionante. Et bien nous avons pas été déçu. Même si la partie que nous avons marché sonne faux et bien-refaite (comme toute la Chine d'ailleurs), cela nous a permis de prendre la mesure de ce qu'est ou était vraiment la grande muraille. Seulement 10 km et nous sommes épuisés et gavés de paysage magnifique. Quand on pense qu'elle fait plus de 6000 km, ca fou la chaire de poule...



Pour finir, voici des petits délices gastronomiques que l'on peut trouver au coeur des hutongs, qu'on s'est promis (plus ou moins) de gouter à notre retour.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire